La parole du petit peuple

Lettre ouverte à Mr le président

   Cher Mr le président,

Je me permet de vous écrire cette lettre car voyez-vous,j'ai peur!

Oui,peur de ce qui se passe en ce pays qui avait pourtant comme valeurs"LIBERTE,EGALITE,FRATERNITE.De la Liberté ,il n'en reste que des lambris de mots écrits sur de vieux papiers,certainement dans un quelconque musée ou dans la poussière des archives.Ne voyez-vous pas que le peuple n'a plus de liberté?Lorsqu'on veut s'exprimer par exemple avec une grève afin de montrer notre désaccord,il faut que l'on demande l'autorisation à la préfecture de notre département,que ce soit agréer par elle-même et enfin si finalement ,on peut gravir du pavé,il faut encore que ce soit maitrisé de part et d'autre....Nous ne sommes pas des marchandises!

Mais Mr le président,comment pouvons-nous maitriser ce que nous sommes venus dire?comment peut-on être tout sourire quand la plupart sont licenciés ou au chômage,lorsque certains n'ont même plus assez pour manger jusqu'à la fin du mois?Leur interdire leur Liberté,c'est comme fermer la porte à quelqu'un qui a besoin d'assistance....Mais là,c'est aller contre la Loi :"La non-assistance à une personne en Danger est punie par la Loi"

Et là,Mr le president,Mr Sarkozy, Les personnes qui ne sont pas aidés dans leurs détresses quotidiennes,et là je ne parle pas de ceux qui bénificie de la largesse des antennes sociales,mais bien de la Non-assistance envers son peuple!

Table des ministres au palais de l Elysee a Paris (FRANCE) le 17 septembre 2006

Au lieu de créer un terrain où chacun peut ,à sa manière et à son niveau,mettre sa propre volonté humaine au service de tous(donc par la logique de lui aussi) ,au delà des différences sociales,vous et votre gouvernement élargissez encore plus le fossé entre nos valeurs citoyennes ,nos convictions humaines et notre désarroi qui se gorge de plus en plus de haine envers toutes formes de règles établies.Les lois ont ou avaient cette fonction mais désormais il n'y a que deux justices:celle de l'or et celle du caniveau.

L'égalité de ce fait,ne peut plus entrer dans son processus légitime puisque,on ne le sait que trop,les contraires ne s'attirent pas.Les hommes d'un côté voient leurs salaires croître ,les femmes se contentent d'espérer que le leurs ne baisse pas.d'un côté,les femmes ont un rôle prédominant concernant la gestion de leurs enfants et les hommes restent dans celui de géniteur et papa à mi-temps(voir tiers..).A droite,les français d'origine française auront plus de mal à être aider par la solidarité des conseils généraux car quelqu'un a estimé qu'ils n'avaient pas de problèmes d'intégration et a contrario,ceux d'origines diverses auront des difficultés à ne pas être considérés autrement que "cas sociaux".hors,normalement,comme on l'apprend aux classes primaires,L'égalité c'est être lotis à la même enseigne!

Et j'en viens à la fraternité qui devrait être le mot clé à se souvenir que nos grand-parents ont luttés ensembles dans la fraternité afin d'érradiquer l'envahisseur.

La fraternité,c'est considérer que nous venons tous d'une même et grande famille:

L'HUMANITE!environnement, nature, vert, écologie, biologique, planète Terre

 

Alors,Mr le président,pourquoi j'ai peur.j'ai peur que les actions du gouvernement qui nous font payer le centuple d'avoir le droit d'être Français,nous amènent à une colère noire du peuple.

Est-ce là la doctrine du"Diviser pour mieux régner"?

En cela,il n'y a pas de transparence mais un mur d'interrogations.

Je vous suis gréer si vous avez pris le temps,pour un temps,de lire l'angoisse qui étreint le coeur de beaucoup.

En toute Liberté,avec égalité et en toute Fraternité,

Une citoyenne.



29/12/2009
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